

Contempler la vie qui nait de la terre, de l’eau, de la lumière et qui éclot sous forme de grains, promesse d’un avenir paisible.

Être tout simplement émerveillé par ces rizières à perte de vue, dans les environs de Mysore au Karnakata, à Trikaipetta ou à Mothakarra au Kerala.

Tomber sous le charme de ces paysages, à perte de vue, dans la brume du petit matin, quand tout est encore calme et qu’il fait encore un peu frais.

Tirer son chapeau devant le travail réalisé par la main de l’homme pour que les rizières s’étagent régulièrement sur des kilomètres.

Se reposer et se laisser gagner par la sérénité dégagée par le dégradé de couleurs pastelles. Respirer au rythme du vent qui souffle délicatement entre les pousses et sentir l’apaisement que cela procure.






Admirer le lent et patient travail des hommes et des femmes qui inlassablement donnent le maximum pour que la récolte soit fructueuse et harmonieuse.

Imaginer un instant que l’on pourrait rester à vivre là, dans cette petite maison qui cherche à se fondre dans le paysage et qui a adopté la couleur locale.


Envisager le monde sous un autre angle, les pieds dans l’eau de la rizière et voir la vie avec un sourire béat parce que le monde est beau quand on est là.
Post précédent de cette série « Un jour, un ailleurs » : https://nathjy.travel.blog/2020/11/06/sillonner-la-medina/
Par Nathalie
Merci de nous laisser découvrir ces rizières inconnues pour nous les français !on aspire à une telle sérénité…….
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