A peine arrivés de la gare, juste après quelques heures de train, découvrir se dégourdissant les jambes, les alignements de sièges et le dégradé de bleus sur la Méditerranée.

Être accueillis par le vol des mouettes…

…qui déploient leurs grandes ailes sous les rayons du soleil.

Le regard entrainé au loin par un vol d’oiseaux accompagné de leurs cris puissants et distrayants…

…tomber sous le charme de ce merveilleux camaïeu de bleus.

Décider de poser ses valises et de prendre le temps de savourer le soleil, tout simplement assis face à la mer.

Décoller les yeux du roman de temps en temps et laisser le regard glisser sur le bleu glacier jusqu’au bleu azur en passant par le bleu turquoise.

S’amuser de voir les pêcheurs qui plantent leurs lignes tout au long de la Promenade des Anglais.

Tourner la tête du côté du « Beau Rivage » et apprécier l’harmonie qui se dégage à l’horizon.

Au-delà du dégradé de bleus sur les eaux, la côte est jolie et déploie tous ses charmes en cette fin janvier.

Regarder tout autour de soi et apercevoir un panneau qui annonce « Le temps d’un été ». Avoir le sentiment d’avoir enfin retrouvé la saison d’été avec son ciel ensoleillé.

S’étonner d’un vol de mouettes en escadrille, chacune à égale distance des autres.

Puis retrouver d’autres mouettes qui se laissent bercer par les flots.

Se rasseoir encore un peu plus loin pour tenter de percer le mystère du bleu infini de cette mer…

… et de ses lignes de séparation entre le bleu glacier et le bleu marine.

Être pleinement comblé d’avoir retrouver le soleil et la mer toute de bleu vêtue, sous un ciel bleu à peine nuageux.

Par Nathalie