Après avoir arpenté les quais le long des canaux, décider de monter un peu plus haut en empruntant la rue qui passe devant la place de la mairie.

Se retourner et apercevoir le port et ses grues de toutes tailles.

Peu après avoir croisé l’impasse des Acanthes…

…déboucher sur de grands escaliers.

Choisir de continuer à monter car la vue sur la petite ville est de plus en plus belle.

Distinguer le bus qui traverse le canal royal en contrebas.

Apercevoir le tribunal maritime et s’étonner de voir un immeuble en plein milieu de la perspective.

Opérer un quart de tour et découvrir l’étang de Thau et ses nombreux parcs à huitres sur la gauche.

Chercher la mouette qui vole, va et vient par-dessus les toits…

Un peu plus haut encore, s’arrêter et scruter le port.

Admirer le petit phare vert et les petites maisons installées tout au long du quai.

S’extasier devant les bâtiments et face au bleu intense.

Prendre le temps de balayer l’horizon et ses plus infimes détails.

Porter de nouveau le regard vers les alignements des parcs à huitres.

Être subjugué par les différentes gammes de bleus.

Inventorier les immeubles au premier plan et les activités portuaires au second plan.

S’étonner de la perspective.

Zieuter d’un peu plus près les conteneurs, les camions et l’activité humaine.

Ratisser du regard le petit port et ses voiliers.

Admirer les deux voiliers qui s’approchent tranquillement du port.

S’émerveiller devant le phare à la pointe du port de plaisance.

Comptabiliser les véhicules sur la zone portuaire.

Surplomber l’Odeep One qui est amarré au quai.

Repérer les deux voiliers qui profitent du vent pour rentrer plus vite au port.

Savourer le plaisir d’être arrivés en haut du Mont Saint Clair et de la vue qu’il offre sur la ville de Sète et ses canaux.

Redescendre par l’autre versant et croiser de charmantes villas qui rappellent, par certains côtés, celles du Maroc.

Arrivés sur les quais, retrouver les cargos qui semblent subitement démesurés.

Apprécier de voir un voilier qui invite à profiter de l’instant présent. N’est-ce pas ce qu’il faut toujours faire ?

Par Nathalie