
Se laisser émouvoir par les statues de la Place de la Comédie à Montpellier.

Admirer comme elles se détachent sur les façades ensoleillées.

S’engager ensuite dans les petites rues entre ombre et lumière.

Tomber sous le charme des luminaire et des passages secrets.

Passer sous la voute et faire un voeux juste pour s’amuser.

Contempler les enseignes d’un autre siècle.

Se laisser toucher par l’élégance des volets écaillés d’une époque que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.

Apprécier les moindres détails.

Apercevoir au loin la cathédrale malgré la lumière éblouissante.

S’extasier et s’embrasser sous les balcons fleuris.

Grimper la petite rue qui débouche dans le soleil.

Tomber sur un lieu culturel occupé pour rappeler que la culture est essentielle à notre existence.

Repartir sillonner à nouveau les ruelles étroites.

Être ébahi par la discrète délicatesse des plantations qui émergent ici ou là.

Admirer ces îlots de verdure au plein cœur de la cité minérale.

Se réjouir de découvrir que de ci-delà on ait pensé à installer des plantations dans les prises d’eau.

Admirer les volets pastels fraîchement repeint et…

… les enseignes des artisans d’art.

S’amuser en apercevant un Yucca qui s’étire au soleil.

Être emballé par le charme désuet des vieux pavés sur lesquels quelqu’un a déposé un vélo.

S’amuser des contrastes entre les deux côtés de la rue et du jeu de la lumière sur les façades. Tirer à pile ou face pour se décider entre l’ombre et le soleil.

Découvrir qu’ici il est même permis de grimper en vélo sur les façades.

Être enthousiasmer par les rues entrelacées.

Lever les yeux et s’extasier encore.

Marcher le long des canaux à Sète et admirer les rayons du soleil qui lèchent délicatement les devantures des habitations.

Apprécier les alignements des maisons en cascade.

Jouir du jeu des couleurs dans les tons bleu et vert…

… ocre et moutarde…

… bleu pastel…

… et terre de Sienne.

Entrapercevoir un tabac comme on n’en voit plus souvent.

Savourer la vue sur les enseignes des restaurants de renommée dans une petite rue à proximité du Jardin des Plantes de Montpellier.

Apprécier le souci du détail.

A deux pas de l’aqueduc, débusquer une petite rue bien fleurie…

… et être emporté par la touche de verdure qui ajoute une note si particulière.

A quelques pas, dans les impasses au nom de généraux oubliés, dénicher une librairie et se redire que l’art est essentiel à nos vies d’êtres humains.

Sourire en découvrant des Yuccas qui allongent leurs bras à la recherche de la lumière, quittant définitivement leur jardin.

Osciller entre l’ombre et le soleil.

Être étonné de ce jeu permanent d’un côté à l’autre des placettes de la ville.

Terminer la balade et se réjouir en apercevant un calicot qui rappelle une maxime de Pablo Neruda selon laquelle le printemps est inexorable pour la culture !
Par Nathalie
Quelle belle ville Montpellier, merci pour cette visite méditerranéenne.
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J adore !!personne néanmoins dans ces ruelles ?
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Peut-être l’heure de la sieste…
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