Flâner sur le port en se demandant si c’est le bleu du ciel qui se reflète sur les barques ou le bleu des barques qui illumine le ciel.

Regarder les barques de plus près et y discerner toutes les gammes du ciel bleu d’Essaouira.

Prendre un peu de hauteur pour apprécier le va-et-vient des mouettes dans le ciel bleu pastel.

Depuis la Skala du port, admirer les nuées de mouettes qui défient la Mogador et ses vieux murs.

Savourer les déclinaisons de bleus sur les barques de pêche fraîchement repeintes.

Grimper sur la coursive au-dessus du port et comparer les bleus délavés des vieilles portes au bleu délavé du ciel au petit matin.

S’étonner de la vie qui bat son plein sur le port tandis que les pêcheurs installent leurs étals et déploient leurs parasols aussi bleus que le ciel.

S’amuser en comparant les barrières et le ciel bleu azur. Aucun doute, ici on a le sens du détail.

Être ébahi devant les alignements de barques dans le port sous les reflets du ciel bleu céruléen.

S’extasier face à la mer et aux îles Purpuraires sous le ciel bleu bondi.

Se diriger vers la Médina et tomber sous le charme du ciel bleu cobalt.

Lever les yeux vers le Taros et ses terrasses qui semblent près de toucher le ciel bleu denim.

Aller faire un tour du côté de la Bab Marrakech et savourer les déclinaisons du bleu turquoise des taxis souiris au bleu azur des charrettes des porteurs en passant par le ciel bleu smalt du ciel.

Prendre le soleil sur la terrasse sous le ciel bleu électrique.

S’amuser de voir une mouette qui prend la pose sous le ciel azuré.

Sous le regard fier d’un goéland qui domine la cité sous le ciel bleu barbeau.

Le regarder prendre son envol dans le ciel bleu azur.

Puis le voir planer dans le ciel bleu caeruleum

Être époustouflé par la variété de bleus selon les heures au-dessus des trois portes, du bleu klein…

… au bleu outremer.

Être fasciné par le ciel bleu de France qui passe entre les motifs de la cimaise en bois.

Admirer les tons ocres sur le bleu safre du ciel.

Se laisser impressionner par les nuées de mouettes qui virevoltent au-dessus des pêcheurs sur fond de ciel bleu saphir.

Être emporté à tire d’ailes dans le ciel bleu estival.

Être tout simplement heureux sous le ciel bleu majorelle.

Tomber définitivement amoureux du ciel bleu égyptien qui révèle les charmes de la Bab Sbaa.

Être ravi de déambuler sous le ciel bleu roi sur lequel se démarque le minaret.

Se balader encore du côté du musée et des palmiers qui s’élancent vers le ciel bleu persan.

Être ému par l’harmonie entre la porte ancienne et le ciel bleu lapis-lazuli.

Être totalement bluffé par les grands murs restaurés avec goût qui se détachent sur fond de ciel bleu klein.

Arpenter à nouveau les ruelles de la Médina et adorer les touches de bleu bondi sur les portes en l’honneur du ciel de la même couleur.

Du côté de la Skala, se reposer sous le ciel bleu légèrement nuageux.

Se cacher dans l’échauguette qui défie le ciel azur.

Apprécier les grands drapeaux marocains rouge vifs qui flottent dans le ciel bleu électrique.

Eclater de rire en découvrant deux mouettes qui font la sieste, confiantes que le ciel bleu lavande ne leur tombera pas sur la tête.

Se poser à l’ombre des grands parasols sur la place du Marché aux grains et son inoubliable ciel cobalt.

Un autre jour avancer jusqu’à Diabat, se poser dans le resto où séjournait Jimmy Hendrix et voir les lettres de son nom qui se reflètent sur le ciel bleu lavande.

Se sentir tout petit au pied des grands palmiers qui tentent de chatouiller le ciel bleu turquoise.

Si petits que certains ont choisi de s’accroupir contre les remparts pour admirer le ciel bleu pétrole à l’ombre des grands murs.

S’extasier devant les terrasses de la Mogador déjà pleine de charme qui se pare de ses plus beaux atours sous les mains expertes des jardiniers et qui s’enroule dans une écharpe de ciel d’un bleu à nul autre pareil.

Par Nathalie