Merveilleux oiseaux de Maurice

En balade à #ebonyforest, comment ne pas tomber sous le charme des nombreux gobemouches de paradis que nous avons eu la chance d’admirer.

Des moments captivants à entrer en contact avec ces oiseaux au plumage multicolore.

Se laisser tout simplement subjuguer par leur mimique.

Savourer les échanges entre eux de branches en branches.

Je vous laisse apprécier le moment et savourer le silence environnant en progressant tranquillement dans la forêt endémique.

Que d’émotions en les voyant sauter de branches en branches pour nous suivre tout au long de cette randonnée.

Magie infinie de Dame Nature.

A d’autres occasions, se laisser impressionner par l’incroyable agilité des tisserins gendarmes entrain de tisser leur nid.

Prendre le temps de les observer entrain de passer un fil puis faire une boucle pour stabiliser la construction.

Être impressionné en réalisant qu’ils ont totalement dépouillé les branches du palmier pour en tirer de quoi fabriquer ces petites merveilles.

S’amuser des jeux de l’amour entre un couple de zosterops gris de Maurice…

Un jeu de je t’aime…

…moi non plus.

Se laisser émouvoir en apprenant, qu’il y a peu, il n’existait plus que 10 pigeons roses à Maurice.

Se réjouir d’avoir la chance d’en apercevoir un et de découvrir qu’ils sont aujourd’hui plus de 500.

S’étonner de voir un cardinal se balancer sur la frêle tige des hautes herbes d’un sous-bois.

Le regarder longuement se sécher en équilibre sur la branche d’un pommier-cannelle.

Admirer la dextérité avec laquelle il se nettoie les pattes.

Être surpris de le voir s’élancer à l’assaut des graines qui lui font de l’œil sur les tiges voisines.

Encore un petit effort…

Allez, on y est presque !

Apprendre en échangeant avec les habitants que le cardinal change de couleur à la saison des amours pour séduire sa partenaire.

Il passe alors d’une belle robe orangée…

…à un magnifique plumage rouge vif.

Le matin, il est toujours agréable d’être réveillé par son chant…

…puis de le regarder fureter de tous côtés.

Arrivés à Bois chéri, passer de longs moments à observer le bulbul orphée fièrement posté sur un oiseau de paradis.

Le bulbul vient juste de gober un insecte qu’il digère paisiblement.

Quels agréables moments passés à observer ces superbes oiseaux.

N’oublions pas non plus les martins tristes.

Cet étrange oiseau capable de s’ébouriffer quand la musique environnante ne lui convient pas.

…et de le signifier à la personne qui le dérange…

…pour faire cesser le bruit qu’il n’apprécie pas

S’amuser enfin en regardant un bulbul orphée qui déguste discrètement un morceau de burger oublié sur la table voisine.

Un petit coup d’oeil à droite puis à gauche, perché sur le porte couverts, il vérifie que la voie est libre et que les convives sont bien partis.

Le voilà qui s’approche à nouveau de l’assiette irrésistible…

Et hop, un nouveau morceau de pain pour la route, ni vu ni connu…sans compter sur la voisine photographe installée à la table d’à côté.

Par Nathalie

2 commentaires Ajouter un commentaire

  1. Avatar de jocelynmeurice jocelynmeurice dit :

    Merveilleux petits zoisezux 🙂
    Ma chère Nathalie, comme tu ne m’as pas répondu pour demain aprème, je suppose que tu n’es pas dispo. J’espère que nous allons ENFIN réussir à bous revoir ! Bises et toujours plus loin.

    Aimé par 1 personne

  2. Avatar de Desbonnez-Hamou Desbonnez-Hamou dit :

    Merci, merci pour ce délicieux et délicat partage ! Une pause lecture sympathique et agréable qui réconcilie avec Dame Nature !

    Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire