Déambulation parisienne à la rencontre de Fabrice Midal

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Se retrouver à la sortie du travail, dans le Ier, et, chevauchant nos vélos, s’aventurer dans le XXe en se faufilant dans la folle circulation des sorties de bureau. S’extraire d’une journée de travail n’ayant rien de bien folichon pour aller batifoler dans les rues animées de Paris.

Tirer le pique-nique de nos sacs à dos et s’installer pour un dîner surprise dans un parc, à côté de bambins qui s’amusent comme des fous dans une aire de jeux. Et tout comme ces petits enfants, se sentir bien joyeux !

Rejoindre la Maison de la Méditation pour un conréfence avec l’auteur de « Foutez vous la paix », le célèbre philosophe Fabrice Midal.

Pénétrer dans un lieu haut en couleurs et en bien-être.

S’installer confortablement et se laisser apaiser par l’harmonie des lieux.

Petit à petit, laisser venir à notre conscience ce qui se passe au plus profond de nos esprit et l’accueillir, sans chercher à le contrôler ou à l’interpréter. Être juste là, tranquillement posé au milieu des autres.

S’extraire du monde en écoutant l’enseignement et, chaque fois que c’est proposé, en méditant pour mieux revenir au monde… pour revenir mieux au monde. Réaliser les mille et une richesses que la vie nous offre chaque jour. Quitter le tumulte un instant pour le retrouver ensuite. Se poser pour reprendre élan et se remettre en route. Apprendre tout doucement, tout délicatement à chevaucher le cheval de la vie comme le dit si bien notre ami Fabrice.

Se simplifier pour profiter pleinement de la vie.

Echanger quelques mots avec Fabrice, à propos de sa chaîne YouTube et de ses belles émissions. Parler rapidement de la session sur l’enfant intérieur, suivie avec bonheur, et se réjouir de cette belle rencontre.

Profiter de cette belle soirée pour faire dédicacer son dernier livre : « La théorie du bourgeon « 

Recevoir une petite carte sur la théorie du bourgeon, carte qui nous permettra de nous remémorer les cinq étapes pour se relier à la vie, pour retrouver de l’élan, pour oser être pleinement soi-même. Oser regarder nos côtés burlesques, les accepter et finalement les apprécier comme étant ce qui nous permet de ne pas trop nous prendre au sérieux afin d’honorer la vie avec sérieux.

Reprendre nos deux-roues en fin de soirée et déambuler encore dans la ville lumière. Humer ici ou là, les douces effluves des tilleuls en fleurs. Sentir avec plus de force les parfums du printemps qui se diffusent tranquillement sur la ville. Sentir battre le pouls de la ville enfin réveillée au sortir de sa longue période de léthargie hivernale. Traverser le XXe puis le XIe, passer par République, le Boul’Mich, arriver à l’Odéon…

S’émerveiller de la vie qui bat son plein, de l’humanité qui se retrouve aux terrasses, sur les balcons, sur les trottoirs ou dans les parcs. Sentir le printemps qui irrigue la cité. Se réjouir de tout ce bonheur palpable à chaque coin de rue. Savourer le bruissement de la vie. S’aimer à en perdre haleine. Oublier les plaintes, les grincheux, les cons, les enquiquineurs. Exploser de vie en traversant la cité sur nos fidèles bicyclettes.

Avoir juste envie de te dire Merci, Fabrice, pour la richesse de tes enseignements !

Par Nathalie et Jean-Yves

Un commentaire Ajouter un commentaire

  1. Avatar de Inconnu Anonyme dit :

    Merci pour ce partage de sagesse.

    Rien ne vaut la vie !

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