Se perdre dans la foule à Delhi, Jodhpur, Agra ou Pushkar…

Fraîchement débarqué à Delhi, aller se perdre dans la foule devant le Fort Rouge et prendre le temps d’admirer le chef-d’œuvre architectural.

Très vite se sentir chez soi au milieu de cette foule bigarrée.

S’isoler un instant et retrouver le calme.

Puis, très vite, retrouver la foule qui surgit de partout.

Du lever au coucher du soleil, s’immerger au coeur de ce peuple si varié et si coloré.

Aller se balader dans Old Dehli, du côté de la grande mosquée Jama Masjid et, être époustouflé en constatant qu’elle peut contenir jusqu’à 25 000 personnes.

Descendre les escaliers et plonger à nouveau dans la foule. Se laisser emporter par le mouvement.

Aller méditer dans un temple Sikh en plein coeur de la journée et découvrir qu’il est rempli de monde.

Quelques jours plus tard, regarder un groupe de femmes qui défile en contrebas dans les rues de Pushkar.

Constater que la foule est dense.

Sauter le pas, sortir et se fondre dans le mouvement perpétuel comme une valse de coloris qui vous emporte, vous emporte et vous fait tourner la tête.

Se poser un moment au coin du feu pour déguster un chapati et échanger quelques sourires avec la cuisinière.

Un peu plus loin dans le périple, s’égarer dans le tourbillon de couleurs vives du marché de Jodhpur.

Flâner en pleine affluence au pied de la Clock Tower illuminée de couleurs plus flashies les unes que les autres et y prendre vraiment goût. Débusquer le marchand de thé et d’épices qui semblait introuvable et se réjouir de l’avoir trouvé au milieu d’une telle multitude.

Un autre jour encore, s’émerveiller, au milieu d’une nuée humaine chamarrée, du travail des 20 000 ouvriers et des 10 000 éléphants qui ont participé à la construction du Taj Mahal.

Avancer au coeur de la multitude et une nouvelle fois avoir le sentiment d’être à sa place.

Être ébloui par tant de couleurs et, à travers la foule en mouvement, entrapercevoir le célèbre monument dans toute sa blancheur mais ça c’est une autre histoire…

Pour découvrir le post précédent de la série « Un jour, un ailleurs » : https://nathjy.travel.blog/2020/11/11/celebrer-la-terre/

Par Nathalie

2 commentaires Ajouter un commentaire

  1. Avatar de Daphné Daphné dit :

    Mais pourquoi les Parisiens s’habillent-ils tous en noir ou gris…? Merci Nathalie de nous transporter ainsi jusqu’au bout du monde chaque martin !

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  2. Avatar de Leycuras Leycuras dit :

    Oh quel bonheur de se laisser transporter au milieu de cette foule colorée on imagine avec délice les conversations d un dialecte pour nous méconnu mais sûrement chantant et inspirant!!merci pour cet instant joyeux !la vie française me pèse et plombe le moral vive l Inde !

    Aimé par 1 personne

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