Ile Maurice – IV

Après avoir quitté la côte et zigzagué sur de petites routes sinueuses de montagne nous voici à Chamarel… Arriver ici, c’est comme arriver sur une autre planète, la planète « sans stress », ça c’est certain !

Un Dodo dans le dos, nous nous laissons émouvoir par la beauté de la nature environnante.

Il fait chaud, et même très chaud, alors quel plaisir de profiter de la fraîcheur apportée par la plus haute cascade du pays, environ 80 mètres de chute, c’est « Chamarel waterfalls ».

Deux rivières se rejoignent, et, au déversoir, l’eau forme deux trombes impressionnantes qui…

…se précipitent dans un gouffre si profond que nous n’en voyons pas la fin.

Un peu plus haut dans la montagne, nous cheminons sans pouvoir imaginer les merveilles que nous réserve cette étrange île volcanique qu’est Maurice.

Quelques pas encore, et se dévoile subitement un paysage qui donne la sensation de s’être posé sur une autre planète.

Dans un écrin de verdure à nul autre pareil, nous découvrons enfin cette terre qui fait la fierté des mauriciens.

Une variation de couleurs ocres se déclinent là, devant nos yeux ébahis – cela vaut bien un petit selfie en passant !

Terre riche en minéraux variés, et qui ont la particularité de ne pas se mélanger avec les cendres volcaniques.

La palette de couleur crée par ces terres est tout à fait insolite… du jamais vu ailleurs.

Pentes douces, formes onctueuses… comme un épiderme aux colorations tout à fait surréalistes, mais qui procurent un sentiment d’infinie tranquillité.

Nos regards peinent à se détacher du sol, fascinés par tant de beauté paisible…

…mais comme aimantés ils y reviennent sans cesse…

…là ils sont attirés par une zone de petits craquèlements comme sur une vieille toile de maître…

…ici quelques graviers viennent mettre un peu de rugosité…

…ici les nervures s’accentuent…

…là petites vallées et collines arrondies s’enchaînent.

Au loin, les montagnes verdoyantes, vestiges de l’ancien cratère.

Camaïeu d’ocres sur camaïeu de verts.

Allure de désert sous les tropiques.

Une cosmonaute ? Non, la photographe photographiée !

Qu’ajouter ?

Rien, si ce n’est que du bonheur à découvrir ces merveilles et nous faisons alors un autre petit selfie !

Nous nous retournons et nos imaginations se remettent à foisonner : sommes-nous sur Mars ? Dans un coin inconnu du Sahara ? Une zone du désert de Thar ? Sur le dos d’un lézard géant qui fait la sieste sous la végétation ?

Heureusement, une gargote à touristes est là pour nous faire revenir sur terre… et nous réhydrater si besoin !

Pour cela il nous faudra traverser une zone magnifique, mais hostile. Ce verre rafraichissant se mérite!

Peu à peu nous progressons… franchissant vallées et collines.

Le paysage est infini…

Puis l’oasis apparaît… nous y voici presque. Nous allons quitter à regret cette rêverie, mais ce sera pour repartir à la découverte d’autres merveilles.
Par Nathalie et Jean-Yves
Vous êtes épatants et admirables, merci pour vos magnifiques partages bien généreux… comme vous deux !
👍👏🙏💝
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Wawwww ! Bravo bravo et merci à vous deux pour cet excellent partage ! 💪👍👏🙏💖
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Bonjour , toute l’équipe de Chamarel Terre de Sept Couleurs vous remercie pour votre bon retour et sommes ravis de savoir que vous avez apprécié votre visite au musée! 😊 Nous espérons vous revoir très bientôt!
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Ha wi ! Ça vaut bien un p’tit selfie mdrrr
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